Les ARGUMENTS CONTRE la peine de MORT
go-lang
il y a 3 mois
sauf que vous ommeter toujours que la realité n'a rien a voir avec votre monde de bisounours et que le laisser en vie = payer toute votre vie pour le surveiller, lui donner a manger, assurer sa santé et il y a toujours un tisque qu'il sevade pour tuer quelqu'un d'autre.
de plus de quels travaux forcés tu parle ? tu veut mettre des outils tranchants dans les mains d'un meurtrier pour qu'il bosse, vas y on te regarde.
BobSparte
il y a 3 mois
Prison à vie
This
Et peine incompressible
spiker-ninja22
il y a 3 mois
La loi du talion c'est une connerie. Le principe c'est "tu as fait du mal à la société donc on te fait du mal". Perdant perdant.La meilleure option serait les travaux forcés, dont le principe est "tu as pris quelque chose à la société, tu vas essayer de rembourser le mieux possible". Et au moins on évite le gâchis de buter quelqu'un, et c'est réversible si erreur judiciaire
non du tout , ce n'est pas la loi du talion c'est sortir les poubelles
on ne garde pas les dechets
spiker-ninja22
il y a 3 mois
This
Et peine incompressible
a quoi ça servirai
scuseme
il y a 3 mois
Le problème des gens en faveur de la peine de mort, c'est que vous réduisez la question aux cas individuels, alors que son abolition vise à prémunir la société de dérives politiques autoritaires
Si la peine de mort a commencé à s'imposer en occident après la seconde mondiale, c'est qu'il y a une raison
Les mecs se sont demandés comment mettre des gardes fous pour empêcher au maximum que se reproduisent les massacres qu'a connu le début du 20 ème siècle, et ils se sont dit qu'abolir la peine de mort dans une société, c'était un bon début pour empêcher un tyran d'y commettre des massacres de masse
Arkhen_
il y a 3 mois
sauf que vous ommeter toujours que la realité n'a rien a voir avec votre monde de bisounours et que le laisser en vie = payer toute votre vie pour le surveiller, lui donner a manger, assurer sa santé et il y a toujours un tisque qu'il sevade pour tuer quelqu'un d'autre.
de plus de quels travaux forcés tu parle ? tu veut mettre des outils tranchants dans les mains d'un meurtrier pour qu'il bosse, vas y on te regarde.
Buter des gens parce qu'on a peur qu'ils s'évadent c'est un sacré aveu de faiblesse. Les détails des travaux forcés c'est du technique, ça peut etre sur une ile ou dans une montagne, bref l'histoire a plein d'exemples.
Et la mort je trouve ça plus doux que les travaux forcés. Dans un cas t'es mort t'es peinard, dans l'autre tu te fais réveiller chaque matin pour travailler dur pour rembourser la société, potentiellement à vie.
kheylogger60
il y a 3 mois
LJDV-Moth
il y a 3 mois
kheylogger60
il y a 3 mois
Buter des gens parce qu'on a peur qu'ils s'évadent c'est un sacré aveu de faiblesse. Les détails des travaux forcés c'est du technique, ça peut etre sur une ile ou dans une montagne, bref l'histoire a plein d'exemples.
Et la mort je trouve ça plus doux que les travaux forcés. Dans un cas t'es mort t'es peinard, dans l'autre tu te fais réveiller chaque matin pour travailler dur pour rembourser la société, potentiellement à vie.
si pour toi la realité est un aveu de faiblesse libre a toi de le penser pourtant ça reste la realité et on est en plein dedans. tu crois que les juges evitent au maximum d'incarcerer les criminels pour le kiff ? la raison c'est toujours la meme, c'est l'argent. Excuse moi de preferer vivre dans le monde reel que dans ton monde fantasmé
scuseme
il y a 3 mois
On s'en branle de est-ce qu'il faut condamner à mort ou à la prison à vie un tueur d'enfants multi récidiviste
C'est pas pour gérer ce genre de trucs que l'abolition de la peine de mort à été mise en place
C'est pour empêcher des tyrans de massacrer des milliers de personnes
go-lang
il y a 3 mois
Tu sais c'est quoi le pire ? Je dis ça parce que je suis FAVORABLE à la réinsertion
Nos prisons sont sur-peuplés et ressemblent plus à un camping géant pour délinquant qui se refilent les bons coups entre les moments où ils se refilent le sida
La peine de mort, c'est permettre de ne pas surcharger les prisons, et permettre de travailler sérieusement avec ceux que l'on compte REELLEMENT réinsérer dans la société
Mais bon, puisque je doute que les gentil chrétiens du topax ont déjà mis les pieds dans une zonzon je ne pense pas qu'il puissent comprendre
BissapTiede
il y a 3 mois
Je disais plus haut que je n'aurais pas versé une larme si il était mis à mort mais c'était spontané et immature de ma part, c'est un sujet qui me touche alors je me suis permis de rédiger mes pensées en remerciant les raies qui les liront.
Il est des sujets qui exigent de nous une honnêteté brutale et une lucidité sans concession. La peine de mort en est un. Plus qu'une mesure, elle est un miroir tendu à nos failles collectives, un reflet des peurs, des échecs et des désillusions qui traversent nos sociétés.
Depuis toujours, le mal habite nos communautés. Il se manifeste sous les formes les plus abjectes, défie notre compréhension et met à l'épreuve nos valeurs. Pourtant, le mal n'est ni nouveau, ni exceptionnel. Il ne disparaît pas sous la menace. Il ne s'efface pas sous le poids des lois. Face à lui, il ne s'agit pas de le nier, mais d'apprendre à composer avec lui, à le réduire, à le contenir, et à prévenir son émergence.
La peine de mort, dans ce contexte, apparaît comme une réaction primaire, presque instinctive. Elle rassure, non parce qu'elle résout quoi que ce soit, mais parce qu'elle donne l'illusion d'une réponse forte et définitive. Pourtant, lorsqu'on gratte la surface, elle révèle bien plus qu'elle ne dissimule. Elle n'est pas une solution. Elle est un aveu : l'aveu d'une incapacité à prévenir, à éduquer, à protéger avant que le pire ne survienne. Elle est le masque d'un État qui, ayant failli dans sa mission première, se drape de vertu pour masquer son propre échec.
Car qu'est-ce que la peine de mort, sinon l'application du mal au mal ? Une réponse qui ne soigne rien, qui ne rend rien, qui ne construit rien. Les victimes, dans leur infinie douleur, ne retrouveront jamais ce qu'elles ont perdu. Rien ne comblera le vide laissé par l'abject. Et face à ce constat, nous devons nous interroger : quelle est la véritable différence entre un homme enfermé à tout jamais, écarté de la société, et ce même homme exécuté au nom de la justice ? Quel message envoyons-nous en mettant à mort ceux qui n'ont que faire de la vie, qu'il s'agisse de la leur ou de celle des autres ? La dissuasion n'existe pas face à ceux qui ont déjà fait de la destruction leur ultime credo.
La peine de mort n'est pas une réponse au mal. Elle est presque une conséquence. Elle traduit une société qui, acculée, choisit la voie la plus visible, la plus immédiate, mais pas la plus juste. C'est la carte de la facilité, celle qui semble nous dédouaner de nos responsabilités. Mais elle ne fait que renforcer l'idée que le mal peut être combattu par la violence, alors que c'est précisément cette violence qui alimente le mal.
Il faut comprendre ce que la peine de mort représente dans l'esprit collectif. Elle est une réaction à la peur, à l'angoisse de voir le mal frapper à nouveau, à l'instinct de survie d'une société qui craint pour son intégrité. Mais c'est précisément dans ces moments de peur que la justice et l'État doivent se montrer à la hauteur de leur mission. Il ne s'agit pas de répondre au mal par un simulacre de force, mais de s'engager à prévenir, à éduquer, et à protéger avec une dignité que le mal, lui, a reniée.
La peine de mort est une illusion de contrôle, une réponse superficielle à un problème profondément enraciné. Le mal ne peut être aboli, mais il peut être réduit. C'est là que doivent se concentrer tous nos efforts. Investir dans l'éducation, renforcer nos institutions, développer des outils modernes de prévention et de détection. C'est en comprenant les origines du mal et en travaillant à les juguler que nous honorerons les victimes, bien plus qu'en reproduisant la violence sous un prétexte légal.
La justice, pour être véritablement juste, doit savoir dire "non" au mal sans jamais céder à sa logique. Car c'est dans la manière dont nous affrontons l'abject que se révèle notre véritable humanité.
kheylogger60
il y a 3 mois
On s'en branle de est-ce qu'il faut condamner à mort ou à la prison à vie un tueur d'enfants multi récidivisteC'est pas pour gérer ce genre de trucs que l'abolition de la peine de mort à été mise en place
C'est pour empêcher des tyrans de massacrer des milliers de personnes
Ton qi urgement pour penser qu'un tyran ne pourrait pas massacrer des milliers de personnes parce que la justice n'a pas le pouvoir de peine de mort stp ?
scuseme
il y a 3 mois
FIAK800
il y a 3 mois
La peine de mort n'est pas plus efficace que la prison a perpétuité et elle ne fait pas baisser la criminalité non plus.
Le problème c'est pas la nature de la peine, c'est le fait que la peine n'est pas toujours exécutée pleinement.
kheylogger60
il y a 3 mois
ok le communiste, retourne dans ta dystopie a la 1984 et laisse les grandes personnes parler de choses concretes et reelles tel que le recidive des meurtriers le manque de moyens mis en place pour les prisons
go-lang
il y a 3 mois
Je disais plus haut que je n'aurais pas versé une larme si il était mis à mort mais c'était spontané et immature de ma part, c'est un sujet qui me touche alors je me suis permis de rédiger mes pensées en remerciant les raies qui les liront.Il est des sujets qui exigent de nous une honnêteté brutale et une lucidité sans concession. La peine de mort en est un. Plus qu'une mesure, elle est un miroir tendu à nos failles collectives, un reflet des peurs, des échecs et des désillusions qui traversent nos sociétés.
Depuis toujours, le mal habite nos communautés. Il se manifeste sous les formes les plus abjectes, défie notre compréhension et met à l'épreuve nos valeurs. Pourtant, le mal n'est ni nouveau, ni exceptionnel. Il ne disparaît pas sous la menace. Il ne s'efface pas sous le poids des lois. Face à lui, il ne s'agit pas de le nier, mais d'apprendre à composer avec lui, à le réduire, à le contenir, et à prévenir son émergence.
La peine de mort, dans ce contexte, apparaît comme une réaction primaire, presque instinctive. Elle rassure, non parce qu'elle résout quoi que ce soit, mais parce qu'elle donne l'illusion d'une réponse forte et définitive. Pourtant, lorsqu'on gratte la surface, elle révèle bien plus qu'elle ne dissimule. Elle n'est pas une solution. Elle est un aveu : l'aveu d'une incapacité à prévenir, à éduquer, à protéger avant que le pire ne survienne. Elle est le masque d'un État qui, ayant failli dans sa mission première, se drape de vertu pour masquer son propre échec.
Car qu'est-ce que la peine de mort, sinon l'application du mal au mal ? Une réponse qui ne soigne rien, qui ne rend rien, qui ne construit rien. Les victimes, dans leur infinie douleur, ne retrouveront jamais ce qu'elles ont perdu. Rien ne comblera le vide laissé par l'abject. Et face à ce constat, nous devons nous interroger : quelle est la véritable différence entre un homme enfermé à tout jamais, écarté de la société, et ce même homme exécuté au nom de la justice ? Quel message envoyons-nous en mettant à mort ceux qui n'ont que faire de la vie, qu'il s'agisse de la leur ou de celle des autres ? La dissuasion n'existe pas face à ceux qui ont déjà fait de la destruction leur ultime credo.
La peine de mort n'est pas une réponse au mal. Elle est presque une conséquence. Elle traduit une société qui, acculée, choisit la voie la plus visible, la plus immédiate, mais pas la plus juste. C'est la carte de la facilité, celle qui semble nous dédouaner de nos responsabilités. Mais elle ne fait que renforcer l'idée que le mal peut être combattu par la violence, alors que c'est précisément cette violence qui alimente le mal.
Il faut comprendre ce que la peine de mort représente dans l'esprit collectif. Elle est une réaction à la peur, à l'angoisse de voir le mal frapper à nouveau, à l'instinct de survie d'une société qui craint pour son intégrité. Mais c'est précisément dans ces moments de peur que la justice et l'État doivent se montrer à la hauteur de leur mission. Il ne s'agit pas de répondre au mal par un simulacre de force, mais de s'engager à prévenir, à éduquer, et à protéger avec une dignité que le mal, lui, a reniée.
La peine de mort est une illusion de contrôle, une réponse superficielle à un problème profondément enraciné. Le mal ne peut être aboli, mais il peut être réduit. C'est là que doivent se concentrer tous nos efforts. Investir dans l'éducation, renforcer nos institutions, développer des outils modernes de prévention et de détection. C'est en comprenant les origines du mal et en travaillant à les juguler que nous honorerons les victimes, bien plus qu'en reproduisant la violence sous un prétexte légal.
La justice, pour être véritablement juste, doit savoir dire "non" au mal sans jamais céder à sa logique. Car c'est dans la manière dont nous affrontons l'abject que se révèle notre véritable humanité.
Dadanedu93
il y a 3 mois
La peine de mort n'est pas plus efficace que la prison a perpétuité et elle ne fait pas baisser la criminalité non plus.Le problème c'est pas la nature de la peine, c'est le fait que la peine n'est pas toujours exécutée pleinement.
On s'en fout de faire baisser la criminalité. C'est pas la question.
BissapTiede
il y a 3 mois
Victor Hugo c'est la chaîne montagneuse qui écrase le gravillon que tu seras toujours avec cette mentalité, c'est grâce à des Victor Hugo que tu as le privilège de vivre sur une terre qui a pendant longtemps rayonné.
SpermeFemme1
il y a 3 mois
scuseme
il y a 3 mois
Ton qi urgement pour penser qu'un tyran ne pourrait pas massacrer des milliers de personnes parce que la justice n'a pas le pouvoir de peine de mort stp ?
Branche ton cerveau
C'est beaucoup plus compliqué de faire accepter des massacres dans une société où la peine de mort est abolie que dans une société ou la peine de mort est la norme
Un massacre de masse c'est juste de la peine de mort appliquée à échelle politique
C'est beaucoup plus simple de glisser de peine de mort, à massacre de masse
C'est pour. A que j'ai parlé de garde fou
LJDV-Moth
il y a 3 mois
Je disais plus haut que je n'aurais pas versé une larme si il était mis à mort mais c'était spontané et immature de ma part, c'est un sujet qui me touche alors je me suis permis de rédiger mes pensées en remerciant les raies qui les liront.Il est des sujets qui exigent de nous une honnêteté brutale et une lucidité sans concession. La peine de mort en est un. Plus qu'une mesure, elle est un miroir tendu à nos failles collectives, un reflet des peurs, des échecs et des désillusions qui traversent nos sociétés.
Depuis toujours, le mal habite nos communautés. Il se manifeste sous les formes les plus abjectes, défie notre compréhension et met à l'épreuve nos valeurs. Pourtant, le mal n'est ni nouveau, ni exceptionnel. Il ne disparaît pas sous la menace. Il ne s'efface pas sous le poids des lois. Face à lui, il ne s'agit pas de le nier, mais d'apprendre à composer avec lui, à le réduire, à le contenir, et à prévenir son émergence.
La peine de mort, dans ce contexte, apparaît comme une réaction primaire, presque instinctive. Elle rassure, non parce qu'elle résout quoi que ce soit, mais parce qu'elle donne l'illusion d'une réponse forte et définitive. Pourtant, lorsqu'on gratte la surface, elle révèle bien plus qu'elle ne dissimule. Elle n'est pas une solution. Elle est un aveu : l'aveu d'une incapacité à prévenir, à éduquer, à protéger avant que le pire ne survienne. Elle est le masque d'un État qui, ayant failli dans sa mission première, se drape de vertu pour masquer son propre échec.
Car qu'est-ce que la peine de mort, sinon l'application du mal au mal ? Une réponse qui ne soigne rien, qui ne rend rien, qui ne construit rien. Les victimes, dans leur infinie douleur, ne retrouveront jamais ce qu'elles ont perdu. Rien ne comblera le vide laissé par l'abject. Et face à ce constat, nous devons nous interroger : quelle est la véritable différence entre un homme enfermé à tout jamais, écarté de la société, et ce même homme exécuté au nom de la justice ? Quel message envoyons-nous en mettant à mort ceux qui n'ont que faire de la vie, qu'il s'agisse de la leur ou de celle des autres ? La dissuasion n'existe pas face à ceux qui ont déjà fait de la destruction leur ultime credo.
La peine de mort n'est pas une réponse au mal. Elle est presque une conséquence. Elle traduit une société qui, acculée, choisit la voie la plus visible, la plus immédiate, mais pas la plus juste. C'est la carte de la facilité, celle qui semble nous dédouaner de nos responsabilités. Mais elle ne fait que renforcer l'idée que le mal peut être combattu par la violence, alors que c'est précisément cette violence qui alimente le mal.
Il faut comprendre ce que la peine de mort représente dans l'esprit collectif. Elle est une réaction à la peur, à l'angoisse de voir le mal frapper à nouveau, à l'instinct de survie d'une société qui craint pour son intégrité. Mais c'est précisément dans ces moments de peur que la justice et l'État doivent se montrer à la hauteur de leur mission. Il ne s'agit pas de répondre au mal par un simulacre de force, mais de s'engager à prévenir, à éduquer, et à protéger avec une dignité que le mal, lui, a reniée.
La peine de mort est une illusion de contrôle, une réponse superficielle à un problème profondément enraciné. Le mal ne peut être aboli, mais il peut être réduit. C'est là que doivent se concentrer tous nos efforts. Investir dans l'éducation, renforcer nos institutions, développer des outils modernes de prévention et de détection. C'est en comprenant les origines du mal et en travaillant à les juguler que nous honorerons les victimes, bien plus qu'en reproduisant la violence sous un prétexte légal.
La justice, pour être véritablement juste, doit savoir dire "non" au mal sans jamais céder à sa logique. Car c'est dans la manière dont nous affrontons l'abject que se révèle notre véritable humanité.
go-lang
il y a 3 mois
La peine de mort n'est pas plus efficace que la prison a perpétuité et elle ne fait pas baisser la criminalité non plus.Le problème c'est pas la nature de la peine, c'est le fait que la peine n'est pas toujours exécutée pleinement.
kheylogger60
il y a 3 mois
La peine de mort n'est pas plus efficace que la prison a perpétuité et elle ne fait pas baisser la criminalité non plus.Le problème c'est pas la nature de la peine, c'est le fait que la peine n'est pas toujours exécutée pleinement.
la peine de mort evite un enorme cout en surveillance, supprime tous les risques de recidive, et donc empeche que le mec se fasse relacher dans 10 ans pour bonne conduite car il y a des coupes budgétaires donc factuellement elle fait baisser la criminalité oui
Arkhen_
il y a 3 mois
si pour toi la realité est un aveu de faiblesse libre a toi de le penser pourtant ça reste la realité et on est en plein dedans. tu crois que les juges evitent au maximum d'incarcerer les criminels pour le kiff ? la raison c'est toujours la meme, c'est l'argent. Excuse moi de preferer vivre dans le monde reel que dans ton monde fantasmé
C'est drôle de passer pour un bisounours en suggérant les travaux forcés comme peine. Si on doit parler thune comme alpha et omega de la société alors les travaux forcés me semblent plus rentables qu'une peine de mort avec 18 recours, mobilisant autant de commissions juridiques comme on le voit aux USA. C'est le meilleur des deux mondes : une peine dure, dissuasive, moins couteuse que d'autres et réversible
OmegAhurax
il y a 3 mois
scuseme a écrit :
On s'en branle de est-ce qu'il faut condamner à mort ou à la prison à vie un tueur d'enfants multi récidivisteC'est pas pour gérer ce genre de trucs que l'abolition de la peine de mort à été mise en place
C'est pour empêcher des tyrans de massacrer des milliers de personnes
Demain un pro-peine de mort fait un coup d'État et gagne.
Il se passe quoi ? Ton petit texte de pacotille va l'empêcher d'exécuter qui il veut ? Il s'en torche le cul de tes mots sur un bout de papier
Tu crois que les services de renseignement français n'assassinent personne pour le compte de l'État ?
LJDV-Moth
il y a 3 mois
ok le communiste, retourne dans ta dystopie a la 1984 et laisse les grandes personnes parler de choses concretes et reelles tel que le recidive des meurtriers le manque de moyens mis en place pour les prisons
Ah, je vois que tu as des préoccupations légitimes concernant la récidive des meurtriers et le manque de moyens pour les prisons. En tant que communiste, je dirais que ces problèmes sont le reflet des inégalités et des injustices systémiques de notre société. Plutôt que de se concentrer uniquement sur la punition, il serait plus constructif de s'attaquer aux causes profondes de la criminalité, telles que la pauvreté, l'éducation insuffisante et le manque de soutien social.
Investir dans des programmes de réhabilitation, améliorer les conditions de vie et offrir des opportunités égales à tous pourraient réduire la récidive et alléger la pression sur le système carcéral. La justice sociale et l'égalité des chances sont des piliers essentiels pour construire une société plus juste et plus sûre.
Mais bon, c'est juste une perspective parmi d'autres. La discussion est ouverte et chaque point de vue mérite d'être entendu.
go-lang
il y a 3 mois
Branche ton cerveau
C'est beaucoup plus compliqué de faire accepter des massacres dans une société où la peine de mort est abolie que dans une société ou la peine de mort est la norme
Un massacre de masse c'est juste de la peine de mort appliquée à échelle politique
C'est beaucoup plus simple de glisser de peine de mort, à massacre de masse
C'est pour ça que j'ai parlé de garde fou
ForomorFou
il y a 3 mois
FIAK800
il y a 3 mois
Sauf que ça marche pas comme ça.
Même si tu condamne un homme a la peine de mort, il va se passer des années avant que la peine soit exécutée donc tu vas libérer aucune place de prison en fait.
Aux USA les condamnés a mort passent 15 ans ou plus dans le couloir de la mort
BissapTiede
il y a 3 mois
Mais putain je commence par quel exemple ? Celui du killing tree au Cambodge où les milliers d'enfants fils de gens qui ont eu le malheur de ne pas rentrer dans les standards de l'époque (comme avoir le malheur d'être prof, d'avoir des lunettes...) ont été massacrés à la chaine sur une souche d'arbre, pour éviter qu'ils ne se vengent ?
Dadanedu93
il y a 3 mois
Très facile à gérer ça. Rien empêche d'aller plus vite dans l'application des exécutions.
kheylogger60
il y a 3 mois
Branche ton cerveau
C'est beaucoup plus compliqué de faire accepter des massacres dans une société où la peine de mort est abolie que dans une société ou la peine de mort est la norme
Un massacre de masse c'est juste de la peine de mort appliquée à échelle politique
C'est beaucoup plus simple de glisser de peine de mort, à massacre de masse
C'est pour ça que j'ai parlé de garde fou
je confirme ton faible qi. il n'y a juste aucun rapport entre tuer des criminels qui ont fait les pires choses et massacrer des inocent. absolument tout le monde le sait.
go-lang
il y a 3 mois
Sauf que ça marche pas comme ça.
Même si tu condamne un homme a la peine de mort, il va se passer des années avant que la peine soit exécutée donc tu vas libérer aucune place de prison en fait.
Aux USA les condamnés a mort passent 15 ans ou plus dans le couloir de la mort
Tu te sens intelligent d'enfoncer des portes ouvertes l'ahuri ?
Tu crois qu'on est obligé de copier le couloir de la mort, tu veux nous vendre un package autistin ?
Ce qui m'explose c'est que le PIRE c'est qu'il y a des arguments LEGITIME contre la peine de mort
Mais vous êtes trop cons pour les utiliser, vous êtes juste bon à faire les ouin-ouin et nous faire dire des trucs qu'on a pas dit
OmegAhurax
il y a 3 mois
FIAK800 a écrit :
Sauf que ça marche pas comme ça.
Même si tu condamne un homme a la peine de mort, il va se passer des années avant que la peine soit exécutée donc tu vas libérer aucune place de prison en fait.
C'est pas toi qui décides de ça le golem.
curzio_7
il y a 3 mois
LJDV-Moth
il y a 3 mois
Tu te sens intelligent d'enfoncer des portes ouvertes l'ahuri ?
![]()
Tu crois qu'on est obligé de copier le couloir de la mort, tu veux nous vendre un package autistin ?![]()
Ce qui m'explose c'est que le PIRE c'est qu'il y a des arguments LEGITIME contre la peine de mort![]()
Mais vous êtes trop cons pour les utiliser, vous êtes juste bon à faire les ouin-ouin et nous faire dire des trucs qu'on a pas dit![]()
go-lang
il y a 3 mois
Mais putain je commence par quel exemple ? Celui du killing tree au Cambodge où les milliers d'enfants fils de gens qui ont eu le malheur de ne pas rentrer dans les standards de l'époque (comme avoir le malheur d'être prof, d'avoir des lunettes...) ont été massacrés à la chaine sur une souche d'arbre, pour éviter qu'ils ne se vengent ?
LJDV-Moth
il y a 3 mois